Walter (Julian) : Julien Walter est un Şef français 3 août 1863 à Balbronn (Vallée de Bruche, dans le département du Bas-Rhin) ; il est décédé à Nancy (Bölümü Meurthe-et-Moselle) le 17 février 1947.
La vie de Julien Walter fut digne d’un conte de fées. Apprenti cuisinier à son arrivée à Nancy, il a appris le métier à Paris dans les plus grands établissements avant d’y revenir pour y racheter le " Restaurant Stanislas ". Il fut l’un des rares AşçılarIle ağustos escoffier, à être décoré de la Légion d’Honneur.
Il était réputé pour sa cuisine jusque dans la Capitale et il a reçu à sa table les plus grands dignitaires du monde.
Son établissement fut, à Nancy et en Lorraine, un " Haut lieu de la vie sociale ". Ce ne fut pas un restaurant de haute gastronomie comme les autres ; ouvert sur l’une des plus belles places de France, il s’est lui-même mué en une agora où la cité ducale et la région sont venues forger et affirmer leur vitalité en des agapes dont l’esprit dépassait parfois de beaucoup la simple recherche des plaisirs de la table. A titre d’exemple, L’École de Nancy a muri " Chez Walter " et elle y a parfois fêté ses triomphes !
Julien Walter fut aussi un ardent promoteur de la Lorraine ; il fût notamment à l’origine de la création du Syndicat d’Initiative à Nancy. De nos jours Office du tourisme de Nancy.
Il œuvra aussi au sein du Syndicat des Hôteliers, Cafetiers et Restaurateurs dont il fût le Président. Il est le créateur de la Foire Expo qui perdure de nos jours. Enfin, il dirigea quelques années durant le Grand Hôtel de la Place Stanislas (aujourd’hui Grand Hotel de la Reine) qu’il fit agrandir.
arasında spot sembolik qui furent sa réputation :
– Les ağ de taban à la Stanislas (eşlik küçük homard à l’américaine).
- ördek yavrusu de Rouen à la Vendôme (ou à l’Alsacienne)
Concernant ces deux spot kaynatılmış dans les cuisines installées au sous-sol, le professeur Georges Pascalis, membre de la très sélecte association gastronomique du « Club des cent » a dit en 1930 après les avoir dégustés : Les filets de soles cachaient leur délicatesse dans cette sauce où la tomate dominait une pointe d’ail, et venait à nos narines apporter un parfum agréable : ce plat était la perfection même, j’en ai pris et repris, je puis féliciter l’homme qui a su trouver cette chose. Le caneton de Rouen était aussi une très grande chose, à la saveur un peu sauvage de la volaille il avait su oublier la douceur traîtresse du foie gras. Parler de foie gras à cette époque de l’année paraît une gageure, Monsieur Walter a gagné cette gageure, il a réussi et ce canard était une perfection.
– Il y eut aussi la célèbre " Lorraine güveç ev " (version asil arasında soupe aux choux dont le secret reposait dans le dozaj arasında fasulye !) qu’il parvint à faire tatmak aux plus grands de ce monde, alors que les fasulye étaient à cette époque considérer comme un " plat du pauvre ".
Ouvrage sur Julien Walter : " Chez Walter, maître restaurateur de la Place Stanislas à Nancy " consacré à l’histoire d’un établissement réputé qui fût dirigé de 1893 à 1940 par l’Alsacien Julien WALTER aux Éditions Gérard Louis par Patrick-Charles Renaud.
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