Sucre d’orge : Le sucre d’orge est une şekerleme şeklinde berlingotlar de renk kehribar veya çubukları yarı saydamiçinde sucre dur coloré contenant des ekstreler d 'Baküs alemleri (ou de glucose qui remplace progressivement l’orge aujourd’hui).
Deux thèses s’affrontent sur l’origine du terme : selon la première, il aurait été à l’origine composé de sucre veBaküs alemleri ; selon l’autre, son nom original aurait été « sucre brûlé », mal traduit en « sugar barley » (littéralement orge en sucre) en Angleterre.
Histoire du sucre d’orge : La recette a été créée en 1638 par les Bénédictines (*) du prieuré de Notre-Dame des Anges à Moret sur Loing, qui découvrirent que la kaynatma d 'inci arpa (ya da gruau d’orge) pouvait colorer et parfumer le sucre de baston cuit, et y ajoutèrent du vinaigre pour éviter la cristallisation du sucre.
(*) Bénédictin/ine : Religieux ou religieuse de l’ordre de Saint-Benoît.
Les Bénédictines en firent un bâton qui servait de médication calmant les maux de gorges des moines chargés de lire les sermons et des prédicateurs. Sa mode se développa à la cour royale et comme pastille soulageant les maux de gorge des orateurs. Il subit un déclin à la suite de la disparition du monastère bénédictin en 1792, mais il connut un nouvel essor sous le second Empire car le sucre d’orge de Vichy, créé par la confiserie Larbaud Aîné, était très apprécié de Napoléon III. Il fut remis à la mode essentiellement dans les stations thermales (Évian-les-Bains, Plombières-les-Bains, Cauterets) mais aussi à Moret où des religieuses la confectionnèrent jusqu’en 1972, date à laquelle elles transmirent la recette au confiseur Jean Rousseau qui perpétue la tradition des berlingots (sous forme d’un cœur transparent marqué d’une croix et des initiales R et M pour « Religieuses de Moret », ils sont recouverts de pudra şekeri pour empêcher qu’ils ne collent dans leur boîte de conditionnement) ou des bâtonnets enveloppés de cellophane. La maison Rousseau a également créé la confrérie du sucre d’orge en 1997.
Avec une recette voisine se fabriquait le pénide, qui était, avec d’autres produits sucrés, un élément du catholicum simple de la pharmacopée maritime occidentale au XVIIe siècle.
De nos jours les sucres d’orge n’ont plus rien à voir avec ceux du passé. Ils ont pris des couleurs vives et éclatants, des tatlar keskin et des formes surprenantes : cannes, nœuds, bâtons tordus,…
Seuls quelques rares confiseurs ont repris la reçete des sucre d’orge d’antan, notament à Moret-sur-Loing (département de Seine-et-Marne en région Île-de-France), où un Musée du sucre d’orge des Religieuses a ouvert ses portes en 2013.
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