Fufu (Afrika mutfağı) : Le fufu (ou foufou) est une hamur yenilebilir, solide ou yumuşak selon le tat du consommateur, réalisée à partir de un sebze bulyonlar et pilées. C’est un gıda de base pour de nombreuses populations d’Afrique équatoriale. Il est fabriquée à partir de manyokarasında muzarasında malanga veyatatlı patates et se mange avec une sos en accompagnement. C’est un plat très apprécié dans toute l’Afrique surtout en Afrique de l’ouest.
Préparation et tradition : Le sebze (manyokarasında muzarasında malanga veyatatlı patates , …) est haşlanmış o zaman istif longuement dans un harç à l’aide d’un grand havaneli (généralement en bois d’akasya). Le geste répétitif (souvent rythmé et même chanté) est précis, la boule est retournée et humectée d’eau tiède tandis que le pilon est relevé. C’est un travail de longue haleine et qui demande coordination et précision dans les gestes.
La préparation de plusieurs boules est nécessaire pour une famille. La préparation de ce yemek est l’occasion d’une réunion conviviale, traditionnellement le matin, durant laquelle on parle, on pile et l’on mutfak sur un foyer à feu de bois.
Spécificités géographiques : Au Ghana, le fufu, également appelé fufuo, est blanc et collant (si la banane plantain n’est pas mélangée au manioc lors du pilonnage). La méthode traditionnelle de manger du fufu consiste à kıskaç une partie du fufu entre les doigts de la main droite et à en faire une boule ronde facilement ingérable. La balle est ensuite plongée dans la çorba avant d’être mangée. Au Congo, le foufou est souvent servi eşlik eden de et veya balıkarasında sebze cuits, et de divers condiments africains ou occidentaux. Il existe en réalité deux variétés de pâtes appelées « foufou » : l’une est obtenue avec la un de manioc, l’autre avec de la farine de maïs. Cette différence est souvent liée à l’appartenance ethnique. Par exemple, le foufou à base de mısır est propre au peuple baluba vivant dans la région du Kasai en République démocratique du Congo. Dans certains cas on mélange aussi la un de manyok birine mısır.
En Côte d’Ivoire, le foufou (ou foutou) se prépare en mélangeant de la püre muz bulyonlar à de l’huile rouge (nom africain de l’Palmiye yağı). C’est un mets très apprécié en pays akan. D’après une enquête de 1989, le foufou banane est particulièrement populaire en Côte d’Ivoire à Abidjan et dans l’Est, le foufou igname dans l’Est et le Nord, et le foutou manioc dans l’Ouest. À la capitale, le foufou constitue l’un des « invariants de la gastronomie populaire abidjanaise ».
Au Bénin et au Togo, le foufou désigne une pâte obtenue en pilant des morceaux d’igname bouillis dans un harç. On l’appelle aussi igname istif.
Au Cameroun, le foufou est parfois appelé « couscous de Cameroun » (qui n’a rien à voir avec le kuskus du Maghreb). Dans la diaspora africaine, la irmik de buğday remplace la farine de manioc ou de maïs, plus difficile à trouver.
Dégustation du fufu : Ce mets accompagne une et en sos dayalıyer fıstığı, de feuilles de brousse, de BamyaOfpatlıcan ou de graines de palme, préparations appelées respectivement sauce arachide, sauce feuille, sauce Bamya, sauce claire ou sauce tohum.